dimanche 23 janvier 2011

3 Octobre 2010


Ecouté une sonate funèbre de Chopin par  hélène Grimaud, qui résume son art à l'universalité des messages que produit la musique: offrir un asile à la pensée de toute l 'humanité qui se meurt ce que disait dejà Novalis, en 1780: l abandon de l homme moderne est tel que seul le poête est à même de ramener l'humanité chez elle.
et de regarder Rubistein , volubile à 8o ans, qui joue Chopin comme si c'était inné, avec jubilation et facilité, " toute ma vie j'ai été collectionneur d'éternité", une leçon magistrale de savoir vivre, de savoir aimer la vie sans condition: Je n ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi heureux que moi!  yen a qu'on du bol.

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